Cette note propose un exercice périlleux : redéfinir notre contrat social, c’est-à-dire, très concrètement, lister les services publics qui forment le socle de notre société, et indiquer clairement qui, comment et combien on les finance.
Nous proposons une immense et salutaire simplification : supprimer tous les impôts, taxes et cotisations existants, mais aussi toutes les aides et toutes les pensions, pour mieux repartir de zéro. « Et à la place », te demandes-tu ? Trois fois rien : un seul impôt pour les ménages, une seule taxe pour les entreprises, et le revenu citoyen pour tous.
C’est simple et clair, mais c’est pas pour faire joli. En comprenant mieux pourquoi on paye des impôts, en rendant plus juste la contribution de chacun, on renforce la cohésion sociale.
C’est notre objectif de fond : unir la société en direction d’un but commun, la révolution écologique. Pour cela, nous voulons faire le plus de gagnants possible, et réduire au maximum les antagonismes. Cela ne les empêchera pas de revenir – heureusement, c’est la vie démocratique –, ni de conduire des politiques de gauche ou de droite, selon les attentes du moment des électeurs, mais sur la base d’un socle juste, qui garantit que l’essentiel, notre environnement et notre bien-être, seront préservés.
Comme pour chacune de nos propositions, pas de belles paroles en l’air. Ici, tout est simple, précis, chiffré. On te laisse vérifier par toi-même en téléchargeant la note ci-contre ou ci-dessous (et en la lisant ensuite, quand même).

